Une fois passées les premières appréhensions, que penser de ChatGPT quand on travaille dans le domaine de la veille ? Ami ou ennemi ? Le Cetim a fait le test.

Il a fait une entrée pour le moins fracassante : à peine arrivé qu’il suscitait déjà des inquiétudes sur la possible obsolescence de certains métiers… et peuplait les cauchemars des enseignants et des partisans des droits d’auteurs ! Modèle d’Intelligence Artificielle conversationnel, ChatGPT (Generative Pre-trained Transformer) est capable de générer du contenu textuel en réponse à des requêtes formulées en langage naturel. Le Cetim a voulu en savoir plus et l’a donc testé sur plusieurs cas réels. Ce premier retour d’expérience fait l’objet d’une note de veille : « ChatGPT : opportunités et menaces dans le domaine de la veille ».

Capable de réaliser des recherches à la vitesse grand V et de produire des notes de veille en quelques instants, ChatGPT signe-t-il la fin des documentalistes, veilleurs ou analystes ? Sans spoiler les premiers enseignements de cette note, on peut d’ores et déjà dire qu’en l’état actuel de la technologie, ces métiers ont encore de beaux jours devant eux. Mais en dépit de leurs limites inhérentes à leur mode de fonctionnement et d’apprentissage, les outils conversationnels s’avèrent d’efficaces et précieux assistants qui facilitent le travail et font gagner du temps. Sans compter qu’ils évoluent et se perfectionnent très vite.

Comment bien les utiliser pour tirer profit de leurs réels avantages ? Ce document fait un premier point objectif sur un outil qui génère bien des polémiques.

La note de veille : « ChatGPT : opportunités et menaces dans le domaine de la veille » est disponible en téléchargement sur notre site, rubrique Mécathèque.