Note de veille - Le rétrofit électrique d’engins thermiques et le jeu des acteurs des engins à PAC

Créé le : 17/12/2020

LE RETROFIT ELECTRIQUE D’ENGINS THERMIQUES ET LE JEU DES ACTEURS DES ENGINS A PAC

Un cadre réglementaire européen impose aux constructeurs de réduire les émissions de CO2 moyennes de leurs gammes en 3 étapes 2020, 2025 et 2030. Des pays vont interdire la vente de véhicules thermiques à partir de 2030 et des restrictions de circulation (ZFE) sont mises en place par certaines collectivités. Tout cela explique la stratégie « énergies nouvelles » des constructeurs, en fait, une stratégie d’électrification à marche forcée.

Pour réduire fortement le CO2, deux solutions d’avenir émergent : le véhicule électrique à batterie et le véhicule électrique à pile à combustible alimentée à l'hydrogène. Et en alternative, le GNV et bio-GNV pour le transport lourd et long avant l’arrivée de l’hydrogène sur cette catégorie de besoins.

Le rétrofit électrique ou conversion électrique ou hydrogène est une solution pour accompagner ce mouvement de lutte contre le réchauffement climatique en transformant des véhicules thermiques en électrique à batterie ou hydrogène tout en évitant de les détruire. Cela réduit ainsi l’empreinte carbone de cette forme de mobilité durable. Comme dans le secteur du bâtiment, où la rénovation est moins consommatrice de CO2 que la construction, la conversion électrique ou hydrogène est doublement bénéfique pour le climat et la lutte contre le réchauffement climatique.

Cette note de veille présente des exemples de rétrofits d’engins mobiles et fait parallèlement le point sur le jeu des acteurs des machines mobiles à pile à combustible.

SOMMAIRE

  1. LE RETROFIT ELECTRIQUE D’ENGINS MOBILES
  2. JEU DES ACTEURS DES CONSTRUCTEURS DE MACHINES MOBILES A HYDROGENE

Contact : Gaël Guégan  sqr@cetim.fr - +33 (0)9 70 821 680