Polissage numérique pour un meilleur suivi. Cas d’une prothèse de hanche: tige fémorale et cotyle

Créé le : 03/09/2015

Devant le besoin croissant de prothèses et pour répondre aux critères de qualité de plus en plus draconiens, les constructeurs ont dû définir des finitions de surface et des rugosités bien définies. Pour y parvenir la finition manuelle tend à utiliser des moyens entièrement automatisés et des commandes numériques 5 axes avec l’apport de robot. Il y aura toujours une balance économique à établir entre la rugosité brute d’usinage et le polissage en fonction des coûts de l’un et de l’autre. La tendance est à l’usinage à grande vitesse qui permet un bon état de surface initial, on procède ensuite à un dégraissage ébavurage, puis au polissage avec la superfinition si nécessaire, puis à un rinçage pour éliminer tous les débris de polissage. La superfinition peut être remplacée par un polissage électrolytique et parfois par un autre revêtement ou modification de surface. En fonction de ces revêtements on note des rugosités différentes.