Créé le : 29/06/2016
Après une année 2015 record, l’industrie aéronautique et spatiale française maintient sa R&D à un niveau important, soit environ 14 % du CA. Les élastomères, très utilisés dans ces applications, sont soumis à des contraintes de plus en plus élevées, que ce soit en températures, hautes ou basses, en atmosphères spécifiques ou exposés au contact de carburants aéronautiques alternatifs. Le développement ciblé de certaines familles (comme les silicones par exemple) ou d’associations de matériaux originales devraient bientôt permettre de répondre, en tout ou partie, à ces cahiers des charges très exigeants.