Créé le : 13/05/2014
Différents concepts et modèles ont été développés pour mimer, de manière simple (type cellulaire, architecture biologique ou modèle in silico pur) ou proche de la réalité (cytoarchitecture 3D et multicellulaire), des organes ou systèmes biologiques d’intérêt dans la recherche préclinique. Le développement de ces modèles répond à deux impératifs : limiter les coûts en précliniques induits par la gestion et l’utilisation de l’expérimentation animale et s’affranchir d’un système de tests de plus en plus mal perçu par l’opinion publique (PETA : People for Ethical Treatment of Animals, 30 millions d’amis…). Le recours à des méthodes alternatives est même devenu un argument commercial et une obligation pour les industriels de la cosmétique. Cette note introduit une succession de 3 notes de veille traitant de ce sujet.