Créé le : 23/05/2019
Si des référentiels, tels les CQI-11 et 12, concernant les entreprises automobiles américaines, existent, ils sont soit liés aux spécifications des constructeurs automobiles, soit à celles des formulateurs de solutions de traitement de surface et sont bien trop spécifiques pour répondre aux besoins formulés par les acteurs français du secteur des fixations, raison pour laquelle ils ont émis le souhait de disposer de leur propre référentiel d’audit commun. La réponse mise en place consiste en un audit reprenant les exigences des référentiels CQ1-11 et 12 mais aussi les modules spécifiques propres au secteur des fixations, et qui est actuellement disponible sur demande sous forme de fichiers Excel (S1989).
Auteur : Cyril FAYOLLE, Cetim