Créé le : 03/10/2016
Sous l’impulsion d’un rapport de 2006 de la Direction Générale de l’urbanisme, de l’habitat et de la construction (DGUCH), il a été demandé au Cetim de se pencher sur l’étude de bruits d’alarme de recul afin que celles-ci soient une moindre source de gène, que ce soit pour les riverains comme pour les opérateurs. Cette étude (9Q296) vise à comparer les effets acoustiques et psychoacoustiques des deux types d’alarme présents aujourd’hui sur le marché : « tonale » et « large bande ». La présente étude reprend les résultats des précédents rapports du Cetim, livrés entre 2008 et 2013, sur la réglementation en vigueur, l’évaluation des performances des alarmes, les critères à prendre en compte pour réduire les nuisances sans rien enlever de l’efficience des alarmes. En plus des réponses aux différentes questions, ce rapport intitulé « Alarmes de recul » reste ouvert sur les questions restant à traiter.