Différents secteurs industriels à forte valeur ajoutée ont de plus en plus recours à la fabrication additive pour gagner en performance. Procédé phare, le Waam jouit de cet intérêt aujourd’hui accentué de l’apport de la simulation. A découvrir dans une nouvelle vidéo du Cetim.

La Fabrication additive (FA) permet de gagner sur de nombreux plans. Mais quand elle est associée à la simulation numérique, elle peut aller encore plus loin. C’est ce que démontre la vidéo « Le procédé Waam optimisé par la simulation », en ligne sur la chaîne Youtube du Cetim.

Gagnant en maturité et en impact au sein des filières industrielles, la FA poursuit sa trajectoire. Jadis technologie émergente, elle s’impose comme un levier technologique de premier plan pour relever les défis industriels, environnementaux et stratégiques de notre époque. En s’appuyant sur ses avantages multiples : réduction de masse, personnalisation, rapidité de prototypage, ajout de fonctions, optimisation des coûts, la fabrication additive contribue à la montée en gamme de l’industrie française et à sa relocalisation.

Avec cette liberté de conception et la possibilité d’ajouter des fonctions, de réparer, de personnaliser… la FA a suscité beaucoup d’intérêt qui s’est traduit par une multitude de procédés, dont le Wire arc additive manufacturing (Waam). Dérivé des techniques conventionnelles de soudage à l’arc, il vise notamment la réalisation de pièces de grandes dimensions, le rechargement et l’ajout de surfaces fonctionnelles.

Dans ce cadre l’utilisation de la simulation s’avère être un outil précieux notamment pour l’optimisation des consommations de matière ou le calibrage des sources de chaleur. Ce qui rend le procédé responsable où l’écoconception permet de conférer à la FA le pouvoir de réduire la consommation de matière et donc l’impact énergétique globale du procédé.

Pour plus de détails, visionnez la vidéo « Le procédé Waam optimisé par la simulation », en ligne sur la chaîne Youtube du cetim.