Afin de s’assurer de l’étanchéité de certaines connexions de ses équipements à l’hydrogène, Vallourec a confié au Cetim la réalisation de tests devant répondre à des exigences de sécurité drastiques.

Le stockage souterrain tel que les cavités salines constitue une option viable pour emmagasiner l’hydrogène. Un avantage et non des moindres, lorsque l’on sait que cet élément est appelé à jouer un rôle clé pour satisfaire la demande énergétique mondiale. Encore faut-il pouvoir s’assurer de l’étanchéité des connexions pour éviter qu’il ne s’échappe des puits. C’est la problématique à laquelle s’est attaquée Vallourec. 

L’efficacité des solutions du géant concepteur et fabricant de solutions tubulaires pour les secteurs du pétrole et du gaz est reconnue depuis des décennies et n’est plus à démontrer… Néanmoins, les équipements testés et validés portent sur d’autres fluides utilisés dans ce secteur stratégique. « Les connexions vissées ont des portées métal-métal et présentent un niveau d’étanchéité au gaz extrêmement élevé. Nous l’avons prouvé par des tests que nous avons réalisés avec de l’azote et de l’hélium… », comme l’indique Pierre Martin. Le responsable R&D chez Vallourec a ainsi souhaité s’assurer qu’il en était de même pour l’hydrogène, gaz fortement inflammable. Ce dernier point n’est pas anodin car il nécessite des habilitations pour conduire des essais en toute sécurité. Habilitations que possèdent le Cetim et à qui il a confié la réalisation des tests effectués en étroite collaboration avec l’Ineris pour l’établissement des procédures garantissant la sécurité des dits essais…

Résultat : aucune fuite décelée ; Vallourec va ainsi pouvoir finaliser ses investigations.

retrouvez plus de détails dans le témoignage client « Vallourec : l’étanchéité à l’hydrogène prouvée par des essais ».