D’abord réservée au prototypage rapide, la fabrication additive a vite élargi le champ des possibles en termes de conception et de production. Débuté il y a une dizaine d’années, un travail de normalisation dans ce domaine vise à en harmoniser les pratiques à travers le monde.

Réalisation de formes complexes, intégration de fonctionnalités inédites, réduction du time to market... Par la liberté de créativité qu’elle offre, la fabrication additive connaît un réel essor depuis les années 2000.
La note de veille « Normalisation en fabrication additive » fait un point complet sur l’état actuel de la normalisation dans le domaine. Gages de confiance, ces normes sont des outils incontournables. Leur élaboration est un processus continu qui mobilise de nombreux experts internationaux dans les instances de normalisation où la France tient son rang dans les échanges sur les sujets en cours et les réflexions sur la stratégie future.
Après un bref retour sur l’origine des besoins qui ont conduit à la mise en place d’une normalisation, la note de veille détaille la vingtaine de normes internationales publiées et deux autres spécifiques à la France.
Également abordées dans ce document, la trentaine de normes en chantier touchant aussi bien à la conception qu’au contrôle non destructif des pièces fabriquées, aux formats de données ou aux performances du procédé, ainsi que les projets européens de recherche en cours (machine hybride, matière première céramique...).

La note de veille « Normalisation en fabrication additive » est disponible en téléchargement sur notre site (accès réservé aux ressortissants).