Avec des temps de production de quelques heures seulement et des coûts réduits jusqu’à 75 %, les moules d’injection plastique imprimés en 3D représentent une alternative économiquement attrayante aux moules proto en aluminium. D’autant plus qu’un grand nombre de pièces prototypes sont nécessaires lors de la phase de développement de pièces plastiques, avant même la réalisation du moule d’injection définitif. La note de veille « Moule plastique pour injection plastique » compare les deux solutions à la disposition des industriels.
Bien que privilégié pour sa rapidité de développement et son coût moindre (tout de même près de 25 % de celui d’un moule série en acier), le moule intermédiaire en aluminium souffre de son excellente conductivité thermique et de ses limites (nombre de points d’injection réduit…) qui affectent l’aspect et le comportement mécanique des pièces obtenues. De ce fait, celles-ci ne sont que partiellement représentatives des pièces finales réalisées dans un moule série multi-cavités en acier. À cet égard, le choix de l’impression 3D de moules sous forme d’inserts en plastique, certes limités à un nombre de fermetures de l’ordre de 100 cycles, permet d’obtenir des pièces proto représentatives peu onéreuses et d’itérer le design entre chaque refabrication de moules.
Rappel des principales caractéristiques du moule classique d’injection et descriptif des spécificités du moule d’injection plastique imprimé en 3D plastique (CAO, technologie d’impression 3D, post traitement, paramétrage des éjecteurs…) : la note de veille « Moule plastique pour injection plastique » met les deux solutions face à face.
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