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Participer aux commissions professionnelles du Cetim : un choix stratégique !

Aéronautique Composants mécaniques Energie Equipements Process Transformation des métaux Autres transports
31/03/2016

Vous voulez orienter les travaux de recherche du Cetim et compter parmi les premiers à pouvoir les appliquer ? N’hésitez plus et intégrez l’une de ses commissions professionnelles. Votre engagement ? Participer à deux réunions par an.

Chaque année, le Cetim consacre 65% de ses ressources aux actions d’innovation technologique. Près de la moitié de cette enveloppe est dédiée à des travaux demandés par des représentants de chacune des professions de l’industrie mécanique via une trentaine de commissions qui en assurent la programmation et le pilotage. Y participer signifie d’avoir l’opportunité de participer à ce pilotage et de définir les sujets de recherche à venir. Cela permet également d’intégrer une communauté d’experts parmi les meilleurs de votre profession, et d’avoir un accès direct aux compétences des experts du Cetim. Un atout important pour les petites structures où les compétences pointues peuvent faire défaut. Evidemment, la participation à ces commissions confère un accès privilégié et en primeur aux dernières évolutions technologiques dans votre métier, mais aussi à la veille du Cetim. Enfin, elle vous permet de valoriser votre image en affichant votre implication dans les actions de recherche mutualisée de votre profession. Et vous êtes chez vous au Cetim…

Stäubli : l’exemple à suivre

Parmi les nombreux industriels qui s’impliquent dans les commissions professionnelles, l’entreprise Stäubli participe régulièrement aux actions collectives du Cetim pour son activité de machines textiles depuis près de 20 ans. Ses motivations : se maintenir à la pointe des technologies, acquérir d’autres compétences et découvrir de nouvelles pistes à explorer… Et surtout, « nous avons absolument besoin d’expertises plus vastes que celles qui nous sont familières. Les actions collectives sont une excellente façon de s’approprier des technologies que nous connaissons mal », explique Patrick Iltis, directeur général France. Le dialogue avec les autres industriels du secteur est un des autres aspects positifs, selon Patrick Iltis. « C’est extrêmement enrichissant. Nous profitons énormément des propositions de sujets de recherche émanant des autres membres. Cela nous ouvre souvent des pistes de réflexion », ajoute-t-il.

Retrouvez le témoignage de Stäubli dans un article du Cetim Infos 227, en téléchargement libre ci-dessous.

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