Radiographie, ressuage, ultrasons, magnétoscopie, tomographie, courants de Foucault, etc. : quelle technologie de contrôle non destructif choisir pour mettre en lumière des défauts spécifiques sur des pièces particulières ? C’est pour répondre à cette question et conseiller ses fournisseurs, que les dirigeants de Cryostar ont demandé au Cetim-Cermat de Mulhouse de former leur personnel au CND. Résultat : des pièces de qualité et un dialogue mieux assuré avec les clients et les fournisseurs.
« Le manque de compétences en interne nous empêchait de savoir quel type de contrôle non destructif appliquer en fonction de la pièce et du défaut recherché, explique Frédéric Chenuet, responsable du service qualité de Cryostar. C’était vrai pour les équipements installés chez nos clients ou les pièces que nous fabriquons, et surtout pour celles livrées par nos fournisseurs, notamment les fondeurs. »
Comment dès lors engager un dialogue serein avec les uns et les autres quand les bases du contrôle ne sont pas comprises et partagées ?
Pour remédier à cet état de fait, l’entreprise a décidé de former douze personnes du bureau d’études et du service qualité. Elle a fait appel pour cela aux experts du Cetim-Cermat de Mulhouse, centre associé au Cetim, qui ont proposé une formation soutenue de quatre jours pour mieux comprendre les arcanes du CND et choisir à bon escient le bon mode de contrôle en fonction de la pièce, de son environnement, de sa structure et de ses matériaux.
Forts de ce savoir, les spécialistes CND de Cryostar ont gagné en assurance et en crédibilité. À preuve : ils dialoguent aujourd’hui aussi bien avec les clients, les fournisseurs qu’avec … les experts du Cetim.
CQFD
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