La société H+ Valves contrôle les pièces brutes en acier au carbone livrées par ses sous‑traitants grâce à Cetim-Trius. Objectif : éliminer systématiquement les pièces qui ne présentent pas un traitement thermique conforme.

« Après une présentation détaillée de la méthode Cetim‑Trius, lors d'un salon industriel, j'ai été aussitôt convaincu de la pertinence de cette solution », se rappelle Emmanuel Gaujac, directeur général de H+ Valves, une PME lyonnaise spécialisée dans la fabrication de produits de robinetterie en inox, en bronze et en acier au carbone moulés.

La solution Cetim-Trius permet d’analyser la structure métallographique (taille des grains) des produits en acier au carbone, grâce à un signal ultrasonore. Si le spectre fréquentiel des signaux renvoyés par la paroi opposée de la bride est « basse fréquence », alors la structure métallographique est composée de gros grains, résultat d’un traitement thermique non conforme.

La solution Cetim-Trius est composée d’une tablette durcie équipée d’une carte ultrasonore et d’un palpeur. Cetim-Trius s’avère être une source importante de gains de productivité pour les opérations de contrôle qualité. C’est le facteur clé qui a décidé H+ Valves d’opter pour cette solution.

« Un opérateur met une à deux minutes pour prendre une dizaine de mesures par soupape - cinq sur le corps et autant sur le chapeau - et environ cinq minutes s’il souhaite enregistrer les données », témoigne Emmanuel Gaujac. Une révolution par rapport à la dizaine de répliques métallographiques seulement qu’un opérateur peut réaliser par jour !

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